4eme de couverture :
Quelques règles élémentaires de survie dans le bush australien :
1) Ne jamais conduire en pleine nuit sur une route déserte : un kangourou se ferait une joie de défoncer votre pare-chocs.
2) Ne jamais céder aux charmes d’une auto-stoppeuse du cru.
3) Et ne jamais se laisser droguer, enlever et épouser par ladite autochtone.
Dans son village, en effet, le divorce n’est pas autorisé. Mais le nombre de veuves y est impressionnant…
Douglas Kennedy, un auteur dont j’ai vu passer quelques romans par-ci, par-là mais que je n’avais finalement jamais lu. Je le croise rapidement au Salon du Livre à Nice et me décide à le découvrir à travers un de ses premiers romans, Piège Nuptial. C’est l’été, il fait chaud et le bush australien me fait alors de l’œil…
Pas de déception, il faut chaud et on sent la poussière. On suit le héros, à qui il arrive de nombreuses mésaventures (on s’en serait douté!), avec envie mais sans réelle(s) surprise(s). Du moins, pour ma part, je voyais plutôt venir les choses mais la lecture n’en a pas été désagréable pour autant. Je voulais tout de même savoir si cela allait se terminer comme je le pensais.
L’écriture est plutôt directe, voire parfois triviale. N’ayant pas lu d’autres œuvres de Douglas Kennedy, je ne saurais dire si c’est son style ou si c’était ici un moyen de bien coller à l’intrigue, assez triviale finalement…. (?)
J’ai encore beaucoup d’autres livres qui m’attendent sur mes étagères et que j’ai envie de découvrir avant de me tourner à nouveau vers Douglas Kennedy. Mais si jamais vous me suggérez un titre, je le noterai dans mes tablettes 😉
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